Ces coutumes qui nous enchaînent

Tu cherchais souvent à bien enchaîner
Le peuple par des coutumes effacées
Par l’éclat du soleil éclairant l’humanité,
Sache ! Que tu ne pourras éviter l’accès
De la lumière dans les cœurs des esprits
Sages, qui cherchent à tracer par le sang
La voie de la délivrance aux innocents

Vivant entre les deux pôles du remords
Et à ceux qui espèrent trouver la liberté
Dans l’obéissance, dans les mots le tord,
Dans le silence angoissant la tranquillité,
Dans la patrie forte le sédatif qui endort
Toutes les âmes maintenues en captivité

Par des lois séparant liberté et volonté,
Sous un ciel bleu où les portes ouvertes
Dévoilent tous les secrets de l’obscurité
Dans un monde où les énigmes sont mortes
Et la pureté de l’aurore sanctifie l’éternité
Par la douceur d’une générosité forte.

Dad Allaoua

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"Je n'existe que dans la mesure où j'existe pour autrui"
Manet




Mon blog : http://amedyazamazigh.blog2b.net

C'est la remise en question qui délivre, faut-il encore qu'elle soit juste et partagée.

Merci pour vos lectures et pour vos commentaires
Bonne soirée
Amitiés
Allaoua

on peut tromper tout le monde un certains temps, on peut tremper certains tout le temps, mais on ne peut tromper tout le monde tout le temps