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J’avais mis de l’amour dans toute la maison
Me réjouissant trop vite de ce cœur qui me donne
Dans son embrasement au fil de nos saisons
L’élixir de jeunesse, des sourires à foison.
Je tente bien souvent d’y pénétrer encore
L’esprit gonflé d’amour je l’attire vers moi,
Il bat je le sais bien, me voit-il, je l’ignore ?
Je l’entends respirer et mourir à la fois.
Il fût un doux refuge durant l’hiver glacial
L’automne lui offrit ses couleurs de miel doux
Quand le printemps fût là il devint impérial
Le mien durant l'été n'attendait plus que vous
Il emplissait ma vie loin du monde extérieur
Je vous entends encore, lui garde le silence,
Pourriez-vous SVP lui dire mon malheur
Et sans vous commander ! Parlez-lui de l’absence…