conomie cette parure des démons
L’Economie cette parure des démons
Que l’aristocratie enfile sans sagesse
Celle qui ne veut abstinence pour surnom
Mais n’a d’absolu que le poids de la richesse
Quand l’aborigène un jour pourra t-il
Ne jamais être absent du débat
Toujours art oratoire aiguisé se peut –il
Avoir l’audace rapace du combat
Il est de ces ceux qui ne se peuvent absents
Se faire piller argent de leur grand labeur
La croissance frivole ne doit ĂŞtre accident
Pour nous faire vivre absurdité comme débiteur
Il nous faut Ă´ monde ne plus adorer
Les agitateurs, spéculateurs, arnaqueurs
Qui nous volent des accords espérés
Pour nous offrir l’affliction pou saveur
A quand une amnistie des déficits
Qui occis toutes les antipathies néfastes
Qui usent, qui détruisent les satisfécits
Quand des accords se signent loin des maudits
Laissons venir Ă nous le bel adage
Economie périra, alliance des peuples survivra
Il sera alors le bon accomplissement sage
Où l’amitié titre de paiement alors sera
Les âmes retrouveront leur sincérité
Pour s’offrir l’amour comme monnaie d’échange
Et Les alligators auront perdu leur criminalité
Au fond de l’arène de leur déchéance d’ange
L’anecdote ne sera plus mensongère
Quand la simplicité du moins sera un appel
De tout l’univers pour que l’apothicaire
N’ai plus souci de soigner nos appétits d’air
Notre monde quittera l’avilissement
Pour faire place Ă la grande admiration
Qu’accompagnera les applaudissements
De l’audace de la pauvreté devenue révolution
L'argent alors ne sera plus différence
De cet appât de l’intransigeance dévoilée
L’avenir nouveau poindra avec félicité
Comme aphorisme désignant belle aisance
C₣
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j'irai par vos hameaux cueillir vos mots pour vous les offrir bouquets versifiés toujours plus beaux
