je le vois s'approcher de loin ,
ses yeux ,déssinent désespoir ,
sa lumière n'est plus que noir ,
et nous avançons dans sa sombre histoire ,
je regarde mon enfant et sa lumière ,
je regarde son visage ,celui de sa mère ,
je voudrais lui dire , n'aie aucune crainte ,
ta mère te garde , ta mère cette sainte !
je voudrais lui dire que le monde fut beau ,
qu'avant les hommes furent égaux ,
qu'avant le soleil brillait ,
qu'avant que 18 soleils l'ai irradié ,
la folie nous a envahi ,
l'homme est son propre énnemi ,
envers et contre tous les prix ,
envers tous les mépris ,
la térre n'est plus qu'un térrain de chasse ,
ou vivent les loups et les brebis ,
le bonheur n'est plus qu'une passe ! ,
et l'homme ne connait plus que le mot survie ,
l'hiver est pour l'etre humain ,
celui meme ,qui s'est mis en déclain ,
au son du mot :pureté ,
au cri des femmes , des enfants , mais pour quelle réalité ? ,
et les cendres tombent ,
et fleurissent les tombes ,
et l'homme succombe ,
ils leurs en incombent !! ,
je voudrais lui dire que ces temps sont révolus ,
qu'est finie l'idéologie de quelques tordus ,
mais la réalité est la ,et l'homme n'a rien apprit ,
et une minorité en paye toujours le prix ,
et nous avançons dans l'hiver ,
peutr etre pour la dernière fois ,
et nous avançons vers l'homme aux abois ,
vers les chiens qui hurlent et aboient ,
quel fut donc notre crime ,
de quoi donc , ma peau , mes idées , mes rimes ,
et nous avançons , les tétes baissées ,
nous trainons le pas le coeur bléssé ,
nous sommes les derniers d'uns race ,
de nous , on éfface les traces ,
et nous avançons ,
et nous supplions ,
----------------
la nostalgie est un bouquet de fleurs enfoui au fond de votre coeur ,
qui vous embaume quand remontent les souvenirs du bonheur ,
yohann