L'horloge a sonné,
L'horloge a sonné, notre petite chérie aussi est partie,
Notre demoiselle, contre son bien-aimé s'est blottie,
Ensemble sans presque rien, ils s'en sont allés construire leur nid.
Les enfants s'envolent toujours vers un lendemain qui les grandi ;
En poche ce coeur là , n'a qu'une bourse de survie,
Dieu merci ! Un peu plus de l'essentiel nous lui avons garanti.
Tout comme à notre grand fils adoré épris d'idéologie,
C'est ainsi ravi qu'il monte à Paris pour gagner sa vie.
Tous deux si gentils, ont choisi au mieux leur chemin pardi !
Nous ici, demeurons les gardiens de leur enfance bénie,
Notre bel été est fini, il a fuit avec nos petits.
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