J'ai beaucoup aimé ton poème sur la mine, et celui-ci tout autant.
Comme toi, mais pas dans les mêmes conditions, j'ai quitté ce pays de soleil pour atterrir dans une France gelée, en plein hiver 1946.
Il est très attendrissant ce portrait d'un enfant de 4 ans qui trouve une consolation dans l'amitié d'un cheval...
Et avec cette simple constatation "le thé ne sera plus préparé", tu dis toute la détresse d'un abandon, avec les autres manques en arrière-plan.
BRAVO pour cette sensibilité subtile !
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Vous ne donnez que peu lorsque vous donnez de vos biens
C'est lorsque vous donnez de vous-mêmes que vous donnez réellement.
Khalil GIBRAN