Elle pleurait, toute pâle de crainte ,
Lorsque le ciel, de sa moitié , la menaçait
Et l'air entier, de ses cris, se remplissait,
Il y avait des oiseaux morts qui pleuraient et l’avaient contrainte.

À Marie mon Dieu, à cette mort dont ta grâce fut sainte !
Qu'il est beau ton teint si pâle que les lys effaçaient !
Le trait de ton amour pourtant me blessait
Et dans mon âme, se graverait ta complainte.

L'air pleurait autour de toi et sa douleur témoigna
De ce beau soleil qui entourait ton visage de pitié et s'éloigna ;
Le vent ému de tristesse retenait sont haleine .

Et sur le monde où tombèrent ses pleurs
De ses beaux yeux d’amoureuses fontaines,
Tout s'émailla sur son corps de verdure et de fleurs.

Une belle image de la Piétà..
qui évoque l"émouvante sculpture de Michel-Ange.

Trés beau sonnet qui dépeint une trés belle et triste image!!

un joli sonnet

la chère marie ne peut pas verser des larmes mais des diamants
la belle marie marche sur de l'herbe bouré de perle et ne brise aucune
Tu sais pourquoi???
parce qu'elle est amoureuse de toi
elle se sent reine en pensant à toi
En te regardant entre les nuages d'un ciel radieux.
Ne soit pas triste chenier ta fée est toutjours là.

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-Combien d’êtres humains ignorent qu’ils n’ont d’humain que le nom ?
Henry Tena Gil

Merci à vous tous mes amis, pour vos vos vifs encouragements, et ce n'est encore qu'a ce prix à n'avoir que des encouragements, qu'on peut poursuivre dans la semaison de ces vers… dans ce monde de la poésie.
Mes amitiés à vous tous, mes amis

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radié pour cause de plagiat

et bien je te dis bien que celui la est ton meilleur mon ami...
il sait venir nous chercher...

tout simplement merveilleux !!!!