Si Marie vous aviez, cette Amour d’une si grande puissance
Dans votre cœur asservi, par la tristesse que vous me rendez,
Et vos yeux d'amour, ne peuvent que suivent les ondées,
Amoureuses des étoiles, et je ne résiste pas à votre espérance ;
T'en je suis heureux de votre amour, et de lui porter obéissance
Je regarde cette amoureuse éprise, de sentiments de grande valeur
Chasse de toi, ces troubles qui t’accable d’ennui et de douleur.
Et tu verras la beauté, qui étonne le monde de son pouvoir ;
Mais Marie, si encor tu te contentes de mon vouloir,
Que je ne désire en toi que ta vénusté , et à ne servir
Ton magnifique corps, dont je ne résiste pas à son bon plaisir.
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